Vous aussi, vous ressentez un inconfort, un trouble
ou une révolte, en apprenant que 58 Etats pratiquent encore la peine de mort.
En lisant que plus d’un million de Syriens ont quitté leur pays, vous vous
demandez jusqu’à quand l’Occident continuera à se murer dans le silence.
Parfois, vous vous dites que vous êtes bien chanceux d’habiter en Suisse, mais
vous vous rappelez soudainement que le respect des droits humains n’est jamais
définitivement gagné. Qu’en 2012, on a recensé 15'000 cas de violence
domestique. Dans notre pays.
Si vous pensez que notre situation privilégiée
constitue justement une chance pour réfléchir aux situations moins
privilégiées, si le travail d’Amnesty International vous intéresse, s’il
suscite des interrogations ou des vocations, alors venez rencontrer sa directrice
suisse, Manon Schick, le samedi 25 mai 2013, à 18h30.
Pensez à vous inscrire (projetvingtdeux@gmail.com), vous et vos amis, même ceux qu’on ne connaît pas
encore.
La contribution attendue : l’envie de discuter autour de
l’engagement national et international d’une ONG, des combats et des compromis
qui sont intrinsèquement liés à une telle action, et plus pragmatiquement, une
bouteille de vin rouge.
Prenez également note que la soirée avec Samuel
Bendahan qui devait initialement avoir lieu le 16 mars 2013, a été reportée au 28
septembre 2013. Les inscriptions sont déjà ouvertes. It’s not too late to say
economy.
Les places de parc sont rares dans le quartier,
privilégiez les transports publics.
Manon Schick est licenciée ès Lettres de l’Université de
Lausanne. Elle a travaillé comme journaliste à L’Illustré et à Radio Acidule,
avant de partir en 2003 comme volontaire avec Peace Brigades International en
Colombie, où elle a accompagné des organisations locales de défense des droits
humains. Elle s’est engagée comme bénévole pour Amnesty dès l’âge de 22 ans.
Elle assume depuis 2004 le rôle de porte-parole de la Section suisse et en a
rejoint la direction dès 2007.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire