vendredi 5 avril 2019

Rencontrer Fanny Parise, le samedi 16 mars 2019

Vous aussi, vous êtes parfois fatigué·e du discours simultané qui vante la progression du PIB des pays industrialisés, et qui prédit à l’humanité de toucher prochainement un état abyssal – car on ne peut rationnellement pas toujours croître sans fin. Vous vous demandez si Monsieur Moustache porte vraiment une moustache ou si ce n’est qu’un argument marketing pour vous vendre son mode de vie frugal (alors que lui ne travaille plus et vous, oui). Comme nous, de temps en temps, vous vous interrogez sur ce que pourrait être une vie inspirée de la décroissance, sans pour autant vous retirer du monde occidental, qui comporte, il faut le reconnaître, un certain nombre d’artifices plaisants. 

Si comme nous, le concept de « dé-consommation » vous intéresse, et que vous vous demandez comment il peut s’incarner – ou pas – dans une existence ordinaire, alors venez rencontrer Fanny Parise le samedi 16 mars 2019, à 19h00. 


Inscrivez-vous à l’adresse projetvingtdeux@gmail.com. Nous pouvons accueillir 20 personnes.

Vous et vos amis, même ceux qu’on ne connaît pas encore.

La contribution attendue : l'envie de parler de décroissance dans une société aux injonctions paradoxales, et plus pragmatiquement, une bouteille de vin rouge ou une autre boisson.

Les places de parc sont rares dans le quartier, privilégiez les transports publics.

Au plaisir de vous rencontrer,
Sonya & Raphaël

Fanny Parise est anthropologue à l’Institut lémanique de théologie pratique de l’Université de Lausanne et journaliste. Parmi les domaines où l’on sollicite régulièrement son regard et son commentaire, on retient notamment l’effet des croyances sur la consommation et la quête de sens en situation de modernité.

Rencontrer Julie Bordier, le samedi 3 novembre 2019

Vous aussi, vous vous demandez, alors que votre esprit vagabonde, si le capitalisme et la philanthropie peuvent faire bon ménage, ou si l’on doit définitivement choisir l’un des camps. Vous vous êtes peut-être dit, lorsque vous consommez, que ce serait « bien » si une partie des bénéfices était reversée à d’autres, proches ou lointains, qui sont dans le besoin. Parfois, vous vous mettez à rêver à ce que pourrait être votre vie professionnelle si vous cassiez les codes du genre, tout en restant dans le jeu : quitter un poste confortable et à la voie tracée, pour se lancer dans du « connu inconnu ».

Si comme nous, vous n’avez pas envie de « choisir un camp », mais bien envie de découvrir un projet qui allie travail et altruisme, alors venez rencontrer Julie Bordier, de l’Effet Papillon, le samedi 3 novembre, à 19h. 

Pour en savoir plus : www.leffetpapillon.ch

Inscrivez-vous à l’adresse projetvingtdeux@gmail.com. Nous pouvons accueillir 20 personnes.

Vous et vos amis, même ceux qu’on ne connaît pas encore.

La contribution attendue : l'envie de parler d’une entreprise de traiteur philanthropique, des valeurs qui la sous-tendent, et plus pragmatiquement, une bouteille de vin rouge ou une autre boisson.

Les places de parc sont rares dans le quartier, privilégiez les transports publics.

Au plaisir de vous rencontrer,
Sonya & Raphaël

Le concept de L’Effet Papillon est né au fil du temps et des expériences professionnelles de sa fondatrice, Julie Bordier. Après plusieurs années dans le management, cette dernière a créé un traiteur et futur restaurant à vocation philanthropique. Une partie des profits est utilisée pour financer des projets humanitaires d’aide à la nutrition et d’accès à l’eau potable en Suisse et à l’international.